Pierre-André Kruger présente un nouveau concept d'écotourisme.
Le
Parc National Amacayacu s’étend sur 300'000 hectares dans une zone de riche
biodiversité en Amazonie colombienne, aux frontières du pays avec le Brésil et
le Pérou. En moyenne, Amacayacu accueille 11'000 visiteurs par an. Cependant,
après un épisode d’inondations en 2012, les Autorités des Parcs Nationaux ont
décidé d’améliorer la gestion de Amacayacu, d’accroître ses bénéfices et sa
visibilité. Par conséquent, les autorités compétentes sont actuellement à la
recherche d’une nouvelle proposition de projet de développement social et écotouristique
pour le parc.
Nouveaux
Mondes, une agence de tourisme suisse, avec 20 ans d’expérience dans la
promotion de voyages sur mesure en Amérique du Sud, présente ici un projet qui
répond aux exigences et aux attentes d’une nouvelle gestion de Amacayacu et
l’ouvre ainsi aux investissements étrangers.
Ce
projet est appelé à devenir un modèle de développement touristique juste,
équitable et durable, reproductible dans toute région d’Amazonie. Il vise à faire de Amacayacu une référence du
potentiel économique que peuvent offrir des programmes d’écotourisme, dans une
région où les alternatives économiques existantes, tels que l’hébergement et
l’exploitation minière, sont en train de décimer l’écosystème.
Le
projet est présenté comme un modèle de collaboration entre les entreprises
internationales privées, le secteur public en Colombie et six communautés
autochtones de Amacayacu. Nouveaux Mondes mettra tout en œuvre afin de
promouvoir la vente des forfaits écotouristiques du parc, autant pour le public
national colombien qu’international, assurant des avantages pour tous les
partenaires.
L’investissement
total de 2 millions de dollars sera entièrement récupéré après 15 ans
d’exploitation, avec un bénéfice net
pour les investisseurs de 5 millions de dollars dans les 20 ans.
Aucune
ressource permettant de préserver la nature et la culture amazonienne
traditionnelle dans le parc Amacayacu ne sera négligée. Le projet permettra de
former, créer des emplois et améliorer les conditions de vie de six communautés
indigènes, offrant ainsi une base économique viable, dans le but de motiver les
jeunes autochtones à rester sur leur territoire, afin de préserver leurs
trésors culturels et naturels.